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Variants : faut-il s'inquiéter ou non ? (FdS#25)

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Pour cette semaine du 17 mai : des moustiques génétiquement modifiés, les variants du coronavirus, de l'eau dans le cœur de la Terre, une voyage dans le cerveau et des photographies de Mars. Bonne écoute, et bon week-end !

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Retrouvez les dernières actualités sur Futura :

Les premiers moustiques génétiquement modifiés des États-Unis ont pris leur envolCovid : cinq raisons de ne pas (trop) s'inquiéter des variantsLe cœur de la Terre pourrait contenir les restes de l'équivalent de 70 océansDes neuroscientifiques ont suivi une pensée qui se déplaçait dans le cerveauMars : découvrez les deux premiers clichés du rover chinois Zhurong

Transcription du podcast :Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue dans Fil de Science, le podcast Futura où nous retraçons l’actualité de la semaine.Les moustiques de demain sont arrivés. Pour la première fois aux États-Unis, une entreprise de biotechnologie britannique vient de libérer une souche de moustiques génétiquement modifiés, baptisée OX5034, sur l’archipel des Keys, en Floride. Celle-ci a pour vocation de réduire les populations locales d'Aedes aegypti, une espèce encore peu présente dans la région, mais connue pour propager des maladies de manière redoutablement efficace, comme la dengue et le virus Zika. La stratégie d’Oxitec est la suivante : d’ici l’automne, environ 20 millions de spécimens mâles seront disséminés dans la nature. Particulièrement attirants pour les femelles de la région, ceux-ci sont équipés d’une spécificité bien utile. Bien qu’ils soient capables de se reproduire, leur progéniture femelle ne se développera pas jusqu’à l’âge adulte, grâce à un mécanisme d’auto-destruction des larves implémenté par les chercheurs. Le déploiement de ces moustiques génétiquement modifiés devrait permettre de protéger les habitants de la Floride contre la menace grandissante de ces maladies dangereuses transmises par une simple piqûre. Reste à étudier l’impact de la réduction des populations de moustiques sur la flore, qui verra son nombre de pollinisateurs diminué.Faut-il s’inquiéter des variants ? Depuis le début de la pandémie, de nombreuses mutations plus ou moins préoccupantes du coronavirus ont été détectées à travers le monde. Il existe à ce jour des milliers de variants du coronavirus SARS-CoV-2, dont cinq sont classés « préoccupants » en France, c'est-à-dire qu'ils ont un impact sur la transmissibilité, la sévérité ou l’immunité. Pour autant, en dépit du discours alarmiste de certains médias, plusieurs données semblent suggérer que si la prudence reste bel et bien de mise, nombre d’entre eux ne représenteraient pas une menace significative à l’heure actuelle. Cela ne signifie bien sûr pas pour autant que la pandémie doit être prise à la légère. Pour découvrir en détail les arguments des chercheurs concernant les variants, nous vous invitons à lire l’article « Covid : cinq raisons de ne pas (trop) s'inquiéter des variants », rédigé par notre journaliste Céline Deluzarche.Le cœur de la Terre pourrait contenir les restes de l'équivalent de 70 océans. La composition exacte du noyau de la Terre se discute depuis un demi-siècle, mais en reproduisant les conditions de pression et de température régnant à l'interface du manteau et du noyau de la Terre lors de sa différenciation, les chercheurs ont découvert que 30 à 60 % du déficit en densité du noyau terrestre pourrait provenir du fait qu'il contient des atomes d'hydrogène à la place de certains atomes de fer et de nickel. Cette eau située à l’intérieur de notre planète aurait été apportée au tout début de sa formation par l'accrétion de petits corps célestes, faisant de la Terre un terrain propice au développement de la vie.Partons maintenant pour un voyage dans le cerveau. Des chercheurs de l'Université de Californie à Berkeley ont récemment enregistré l'activité électrique des neurones de seize patients épileptiques à l'aide de l’électrocorticographie (ou ECoG), une technique offrant une résolution plus précise que l’EEG ou l’IRMf. Des centaines de minuscules électrodes ont été placées directement sur le cortex des patients et ont permis de tracer le déplacement d’une pensée dans le cerveau lorsqu’une personne s’apprête à engager une action. Ils ont confirmé le rôle du cortex préfrontal en tant que coordinateur entre les différentes régions du cerveau, reliant la perception à l’action, et ont également constaté que certaines zones qui correspondent à l’enclenchement d’une réponse peuvent s’activer très tôt, alors même qu’un stimulus est en train d’être enregistré par le cerveau. La preuve qu’à tout moment, notre matière grise se tient sur ses g...

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