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Fil de Science #23 : Lanceur en chute libre, cancer médiéval et jetpacks

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Pour cette semaine du 3 mai : un lanceur en cavale, une sépulture millénaire, des puits sauvages, des squelettes déterrés pour la science et des attaques en mer en jetpack. Bonne écoute, et bon week-end !

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Retrouvez les dernières actualités sur Futura :Espace : personne ne sait où va tomber le premier étage de 30 m du lanceur chinois Long March 5Découverte de la plus ancienne sépulture humaine en Afrique Des « trous du cul » de chevaux pour lutter contre la sécheresseAu Moyen Âge, le cancer faisait aussi des ravagesLa marine royale britannique prend d'assaut les navires en jetpack !

Transcription du podcast :Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans Fil de Science, le podcast Futura où nous retraçons l’actualité de la semaine.Ce week-end une pluie de débris est attendue sur Terre. Il y a quelques jours, le lanceur Long March 5B faisait la une en mettant en orbite Tianhe, le cœur de la future station spatiale chinoise. Alors qu’une série de manœuvres aurait dû être mises en place pour assurer une rentrée sûre dans l’atmosphère, il semble en être allé autrement pour l’appareil. Celui-ci est donc en train de chuter comme une pierre, condamné à entrer en collision avec la Terre à une date et en un lieu qui demeurent encore incertains. L’objet de 30 mètres de long et de 5 mètres de diamètre dégringole actuellement à une vitesse de plus de 25.500 km/h et pourrait atteindre le sol entre le 8 et le 12 mai. Quant à la région d’impact, elle serait délimitée par New-York, Madrid et Pékin au nord et par le sud du Chili et Wellington au sud. La majeure partie de l’hémisphère sud et une fraction de l’hémisphère nord sont donc tenues en haleine pour le moment, en attendant un retour des scientifiques qui pourront estimer avec précision le point de contact environ 6 heures avant que les débris du lanceur n’atteignent le sol. Le meilleur espoir reste qu’une grande partie de ce débris de 21 tonnes soit fragmentée dans l’atmosphère, mais les experts estiment tout de même que 20 à 40% de cette masse pourrait atteindre le plancher des vaches intacts. Espérons donc pour le mieux en attendant de plus amples nouvelles.Partons au Kenya maintenant, à la découverte de la plus ancienne sépulture humaine jamais mise au jour sur le continent africain. Baptisé Mtoto, le jeune enfant sorti de terre par les chercheurs n’aurait eu que trois ans à l’âge de sa mort, il y a 78.000 ans. Son corps aurait été placé en position foetale dans une fosse puis recouvert d’un linceul, sa tête reposant sur un support. Ces vestiges sont désormais la marque du plus ancien rituel funéraire jamais étudié en Afrique. Un rituel probablement complexe, selon les scientifiques, sollicitant la participation de plusieurs membres de la communauté et attestant de l’évolution culturelle des sociétés du Pléistocène supérieur. Le corps de Mtoto rejoint seulement deux autres individus découverts sur le sol africain : un autre enfant, égyptien, daté de 68.000 ans, et un nourrisson d'Afrique du Sud daté entre 58.000 et 74.000 ans.Face à la sécheresse, les chevaux et les ânes ne se laissent pas démonter. Des chercheurs de l’université technologique de Sydney ont en effet analysé leur comportement et révélé qu’à l’état sauvage, ces équidés ont pour habitude de creuser des trous dans le sable à la recherche d’eau. Ils essaiment ainsi des sortes de puits à travers le territoire qui participent à accroître considérablement la disponibilité en eau pour une grande partie de la faune, mais aussi de la flore. Près de 60 espèces différentes ont été surprises en train de s'abreuver à ces sources : des herbivores mais aussi des oiseaux et des lions. Une fois abandonnés, ces creusets servent ensuite à la germination des arbres, jouant un rôle, aussi mineur soit-il, dans le verdissement des régions arides.Au Moyen Âge aussi, le cancer faisait des ravages. Une récente étude révèle en effet que 9 à 14% de la population anglaise aurait pu être touchée par ce mal insidieux entre les Vie et XVIe siècles. Des résultats obtenus en déterrant 143 squelettes dans 6 cimetières de la région de Cambridge, et en analysant les signes de malignité visibles dans leurs os, la seule partie pertinente de leur corps qui n’ait pas encore été dévorée par les vers. Grâce à la tomodensitométrie, les chercheurs ont pu constater que 3,5% des individus montrait des signes de métastases. Si l’on prend en compte le fait qu’un tiers à la moitié des personnes atteintes de cancers des tissus mous voient la tumeur se propager à leurs os, on obtient cette statistique de 9 à 14%. Un chiffre quatre à un cinq fois plus grand aujourd’hui du fait des modes de consommatio...

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